un petit trait d’esprit et d’humour…
» Un couple avait 2 garçons, un de 8 ans et l’autre de 10 ans, de vrais espiègles. Ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups dans leur petit village. Chaque fois que quelque chose se passait, les résidents savaient qui étaient les responsables.
La mère les avait punis, grondés, les avait raisonnés : peine perdue.
Le père, après avoir fait la même chose, sans plus de succès, dit à sa femme :
– Qu’est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles?
Ils demandèrent donc au curé d’avoir un entretien avec leurs enfants, mais l’un après l’autre. Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança :
– Où est Dieu?
Aucune réponse.
Le curé répéta :
– Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il?
Toujours le silence.
Le curé, exaspéré par le silence du gamin, lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
– Pour la dernière fois, je te demande : Où est Dieu?
Le gamin prit ses jambes à son cou et rentra directement chez lui.
En arrivant, il prit son frère par le bras, l’emmena dans sa chambre et ferma la porte. Encore tout essoufflé, il lui dit :
– Là on est mal barré ! Ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c’est nous qui avons fait le coup.
(Envoyé par une amie)
Un couple avait 2 garçons, un de 8 ans et l’autre de 10 ans, de vrais espiègles.
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> > Ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups dans leur petit village.
> > Chaque fois que quelque chose se passait, les résidents savaient qui étaient les responsables.
> > La mère les avait punis, grondés, les avait raisonnés : peine perdue.
> Le père, après avoir fait la même chose, sans plus de succès, dit à sa femme :
> > – Qu’est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles?
> > Ils demandèrent donc au curé d’avoir un entretien avec leurs enfants, mais l’un après l’autre.
> > Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança :
> > – Où est Dieu?
> > Aucune réponse.
> > Le curé répéta :
> > – Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il?
> > Toujours le silence.
> > Le curé, exaspéré par le silence du gamin, lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
> > – Pour la dernière fois, je te demande : Où est Dieu?
> Le gamin prit ses jambes à son cou et rentra directement chez lui.
> > En arrivant, il prit son frère par le bras, l’emmena dans sa chambre et ferma la porte.
> Encore tout essoufflé, il lui dit :
> – Là on est mal barré ! Ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c’est nous qui avons fait le coup.